Les membres du salon des étudiants de l’université française étaient face au Journaliste ce mardi 14 février à Conakry à la maison de la Presse Sis à Dixinn. Au menu « l’insertion professionnelle des jeunes et lutter contre le chômage.
D’entrée, madame Aline Destelas: fondatrice de diversité française de Guinée a déclaré ceci : « Ce qu’ont essaye de faire depuis qu’on ai arrivé en Guinée, c’est de lutter contre le chômage des jeunes. On a fait ce constat avec les entreprises de la place, souvent les jeunes sont diplômés, mais ils manquent de compétence et d’opérationnaliser pour être introduit sur le marché de l’emploi. avec l’université française de Guinée ont essaye de prendre le meilleur de la Guinée, le meilleur de la France et faire un mariage réussi et proposer des solutions. » a-t-elle déclaré.

De poursuit, elle a précisé qu’en Guinée qu’on a le meilleur, c’est la capacité des étudiants à apprendre à s’engager.

« Les étudiants sur des parcours de formation, on a des locaux, un écosystème entreprises qui est présent qui recherche de la main d’œuvre classifié. En France ,on a des diplômes qui ont de la valeur. Ces méthodes d’apprentissage sont un peu différent. A chaque foi on a envi d’aller vers une insertion professionnelle et calculé le taux. Donc on a pris le meilleur de nos deux pays. Pour mener une expérience », a-t-elle soutenu.
Avant d’ajouter ceci : « nos étudiants sortants de l’université qui ont un diplôme, sont tous placés sur le marché de l’emploi et dans le métier qui correspond à leur diplômes à des salaires convenable et c’est satisfaisant. On envisage aussi d’aller plus loin en pensant à l’entreprenariat qui est une véritable levier pour lutter efficacement contre le chômage des jeunes. »

Par ailleurs, la conférencière, a noté qu’il y a eu 250 dossiers de candidatures et qui ont monté leur entreprise c’est pour vous dire l’intérêt que ce salon représente. Sur ces dit-elle, sur les 250 dossiers, 100 ont été sélectionnées. « Et il pourront venir présenter leur projet pendant ces trois jours à savoir le 16,le 17 et le 18 mars à Ratoma dans le virage de l’hôtel du Nord près du rom- point de Kakimbo . Il y aura un jury lors de l’événement qui va venir écouter, les présentations d’entreprise, les buts, avec les trois premiers récompensés et une dotation global de 50 million », a-t-elle expliqué.
Pour finir, madame Destelas a laissé entendre qu’aujourd’hui l’éducation n’a pas de frontière, ces solutions naissent au travers des coopération.
« La présence de la France ne veut pas dire, j’ai raison et j’impose ma vision c’est pas le cas, elle vient plutôt dire venez si on le fait ensemble c’est pour avoir plus de succès. », a-t-elle conclu.
Jeannette Mansaré

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