En marge des festivités du 139ème anniversaire de la Fête Internationale du Travail, célébrée ce lundi 1er mai, au stade du 28 septembre, madame Koumbassa Marie Yvonne,, Secrétaire Générale Adjointe de la Fédération Syndicale des Banques et Assurances de Guinée (FESABAG) et trésorière de l’Union Syndicale des Travailleurs de Guinée (USTG), s’est exprimé à nos micros face à plusieurs maux qui défrayent la chronique dans la cité entre la Mouvement Syndical Guinéen (MSG) et le gouvernement de la transition.
Dans son intervention, madame Marie Yvonne s’est réjouit de la mobilisation des travailleurs qui sont massivement sortis et représentés par les par les différentes centrales syndicales. « Nous avons dit que c’est le Mouvement Syndical Guinéen (MSG) qui organise cette fête vue que les travailleurs sont représentés par leurs centrales. Aujourd’hui je lève le képi pour les travailleurs. Mais pourquoi ? Parce qu’ils ont montré Aujourd’hui qu’ils sont-là pour répondre à l’appel des représentants qui sont les centrales pour venir porter l’eur voix aux autorités de la transition », a-t-elle dit.
Poursuivant, notre interlocutrice à notifié qu’on n’est pas sans savoir que le syndicat est placé aujourd’hui dans cette transition à l’oubliette. « On ne peut pas parler de transition sans parler de mouvement syndical. Depuis que cette autorité est venue, ils n’ont pas tendu la main aux syndicalistes. Pourquoi je dit aux syndicalistes, parce qu’ils sont les représentants du peuple. Tout le monde se retrouve dedans ( les commerçants, les travailleurs, les ménagères ainsi de suites).
Par ailleurs, madame Koumbassa Ivonne a soutenu que les autorités de la transition devraient-ils leur tendre la main.
« Il devrai nous tendre la main mais, qu’à cela ne tienne, on ne voit que la Guinée, c’est la Guinée qui gagne et pour ça, pour que la Guinée gagne, il faut que tout les enfants de la Guinée se retrouve dans cette transition. Il faudra regarder la population guinéenne qui n’à rien. Surtout les femmes qui ont accompagné leurs enfants, payé leur scolarité, jusqu’à ce qu’ils finissent leurs études et sont sans emplois. Il faudra que la transition qui a commencé mette les retraités à la porte et prenne ceux (les personnes) qu’il faut à la place qui faut. Mais nous avons tendu un cahier de charge à l’État. Je pense qu’ils (l’État) à pris ça à deux mains, parce qu’ils savent qu’ils sont-là pour nous », a-t-elle mentionné.
Pour clore, la syndicaliste a souhaité bonne fête à tous les travailleurs et travailleuses du monde et plus particulièrement ceux de sa nation la Guinée.
Propos recueillis par Ablo Soumah

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